Respect de l'environnement
PEFC
(Programme for the Endorsement of Forest Certification Schemes)
Comment concilier progrès économique et social sans mettre en péril l’équilibre de la planète ?
Préserver les richesses naturelles tout en permettant aux hommes d’en vivre décemment et durablement ?
Et enfin, léguer une terre en bonne santé aux générations futures ?
À ces questions qui justifient l’effort collectif en faveur développement durable, les acteurs du monde forestier entendent apporter des réponses spécifiques. Depuis plus d’une décennie, ils s’efforcent de promouvoir la gestion durable des forêts dans leurs régions et d’en garantir la mise en œuvre à travers des règles communes internationalement reconnues, grâce à la certification PEFC
La gestion durable des forêts
La notion de gestion forestière durable a été précisée, continent par continent, lors de différentes conférences qui se sont tenues durant la première moitié des années 90 et qui ont donné naissance à différents processus à l'échelle continentale : celui d'Helsinki pour l'Europe, de Montréal pour l'Amérique du Nord et de Tarapoto pour l'Amérique Latine. Initié à Strasbourg en 1990, institué lors de la conférence d'Helsinki en 1993 et finalisé à Lisbonne en 1998, le processus européen de gestion forestière durable définit six grands critères : maintien des capacités de production biologique maintien du bon état sanitaire
satisfaction de la fonction de production de bois
respect de la biodiversité
protection du sol et des eaux
fourniture des diverses “aménités" (accueil du public, paysage…).
[Plus d'infos sur le label PEFC...]
Matériau peu énergivore
Le bois est un matériau chaleureux... Dans tous les sens du terme !
C'est en effet un excellent isolant (il possède une très faible conductivité thermique) : le bois isole 6 fois plus que la brique, 12 fois plus que le béton, 350 fois plus que l'acier et 1 500 fois plus que l'aluminium !
Au delà des qualités intrinsèques du matériau, les systèmes constructifs bois sont très performants en termes d'isolation. Les madriers, en particulier, permettent l'insertion d'un isolant thermique (laine de bois, par exemple) au coeur même des murs. Résultat : épaisseur minimale, isolation maximale.